Demain, ce soir ou le mois prochain
la Nada partira!
Mais le problème deviendra existentiel pour redresser la barre après deux années de massacre économique.
La place de Tunis n'est plus attirante pour les investisseurs qui se bousculeront aux portillons de la Turquie, de la grande Égypte et du Maroc.
Ici, les ressources sont limitées et l'évasion fiscale effarante :
- les poids lourds évitent de payer lourdes taxes et impôts.
- des milliers de commerces ne payent qu'un forfait annuel de 400 dinars par AN, même s'ils font une recette de 500 ou 5000 dinars jour.
- le tourisme agonise, l'euro freine toute importation de matière première pour nos usines.
- le phosphate creuse sa tombe
-Ben Gerdane compte 200 « sarafas » qui évadent 1 million de dollars US jour soit 1,6 milliard de nos millimes. Sur la place publique.
Depuis, quelques jours un dialogue national est lancé et paraphé par 90% des partis !
Il faudra tenir bon, oublier les ragots, les intox et fausses nouvelle d’un « majles Truc ». Il faut tenir à ce dialogue national.
On revient de loin, Jébali parlait du 6e Califat à la télé, les salafistes envahissaient Kairouan, nos braves politiques et soldats sont assassinés et nos administrations infiltrées !
La Société civile tient aujourd’hui le haut du pavé, du Bardo à l’Agora centrale et cette fois elle ne lâchera pas, jusqu'à la LIBERATION du pays !
Unissons-nous ! Maintenant. BCE, Hamma Hammami et Mohamed Hamdi par exemple l’ont bien expliqué, au Palais des congres, vendredi dernier ! Merci.
QUEL courageux homme POLITIQUE arrivera à redresser ce pays, à redonner confiance aux investisseurs tunisiens et à ré-attirer les investisseurs étrangers ?
En vue, cinq années de disette… sans risette.