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cheques impayes

  • LETTRE AU BON DIEU

    C’est plus qu’un crime ! C’est une faute !

     

    Haro sur le baudet !

    Oui, j’ai commis un crime !

    Oui, je suis fautif !

    qualite-banques0709.jpg

    Mais

    Je viens de « perdre 4 heures de ma vie » aux bureaux de la CNSS.

    Je viens de flirter de près avec l’absurde et l’aveuglement des rouages administratifs divers : CNSS, PTT et Banque ! Une simple page de la vie !


    Je me défoule en écrivant dans un but constructif. Je me défoule en lançant une bouteille à la mer aux bons soins du Père Noël, qui un jour peut-être, fera suivre mes trois requêtes, d’un simple actionnaire (une action) de l’Etat tunisien !

    Je m’explique.

    En quittant la CNSS, vendredi dernier, pour la mise au point d’un dossier privé, j’ai demandé en sortant, si mon officine n’était pas également redevable de 14,120 depuis 1992 ? Dans ce cas, je voudrai rapidement régler ce litige en essayant de retrouver des écritures et des souches de chéquiers, puisque c’est grâce à une souche de 1992…que l’épée de Damoclès a été suspendue et mon dossier réglé.

     

    Réponse du loup à la bergère : « Oui, vous avez un très grave problème Sir ! Votre quatrième trimestre2008 est impayé à ce jour et vous devez le régler et payer en plus toutes les pénalités de retard et les frais inhérents à ceci. »

     

    Waw ! Le verdict est jeté ! Le sort est scellé et la faute consommée !

     

    Après la visite de quatre bureaux, on me sort un beau carnet noir où est signifié ceci : « chèque de 923 dinars retourné par la banque émettrice pour cause de non provision »

     

    Le monsieur qui a les chèques dans son coffre étant absent, on me demande de revenir lundi pour voir tout cela de près. Ayant depuis toujours payé tout fournisseur et Débiteur à temps, je suis très étonné par la chose et m’empresse d’aller à ma banque UIB pour vérifier si ce chèque de 963d serait dans leurs écritures ! Aucune trace ! Nada !

     

    Lundi matin, un aimable directeur de la CNSS me reçoit dans ses bureaux et j’apprends le déferlement suivant de malchances successives :

     

    1/ Mon chèque n’était « pas signé » et la banque l’a renvoyé à la CNSS en mentionnant ce crime frauduleux (chèque non signé) de son fidèle client.

     

    -          Mais vous auriez dû au moins m’envoyer une lettre recommandée pour m’avertir ou au semestre d’après ne pas accepter mon nouveau payement si le précédent n’est pas payé !

     

    2/ Oui, la CNSS me sort de sa cave une lettre cachetée avec mon nom et avec  un  mot et cachet de la Poste disant, du 10 février 2009, « lettre non réclamée ».

     

    Je n’accuse pas comme Zola mais je demande :

     

    1/ A ma banque UIB qui n’a pas contacté son fidèle client (pour qu’il signe son chèque !) de me restituer les 128,870 dinars de pénalités et de frais, payés ce jour à la CNSS.

     

    2/ A la Poste de m’expliquer comment se fait-il que n’ai pas reçu deux avis réglementaires de LR ?

     

    3/ A la CNSS enfin : l’effort suivant :

    A l’heure où l’informatique est reine pourquoi ne pas ajouter sur une fiche client une mention disant « trimestre X impayé » et d’avoir ainsi le choix de :

     

    a/ Refuser le nouveau règlement du trimestre qui suit, avant le règlement de l’ancien tout en avisant le client des pénalités de retard qu’il encourt.

     

    b/ Encaisser le nouveau règlement et aviser le client du non payement d’un trimestre.

     

    Finalement, avoir un reçu de payement ne veut rien dire et ne signifie pas quitus.

    Si la CNSS adopte pour « ses clients » cette formule d’avertissement au guichet, quelques secondes peuvent éviter une tonne de paperasse et plus d’un désagrément, sans oublier certes que j’aurai dû vérifier au départ que mon chèque était bien signé !

     

    Merci Père Noël d’expliquer tout cela à la CNSS, à l’UIB et la Poste !