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My Point of View - Page 19

  • TUNISIE AU TOP5 DE LA PLANETE =(((

    Le nouveau code de la route

    ses nouveautés et ses enjeux

     

    Dans un pays où conduire très mal est si familier, où griller un feu rouge, dépasser une ligne blanche ou tourner sans clignotant est tout aussi familier, on ne peut s’étonner d’être dans le TOP5 des pays les plus meurtriers…sur la route !

    Voici un extrait du futur code de la route en Tunisie

    Un bon conseil. Les usagers de la route ont tout intérêt à lire attentivement le nouveau code de la route. Il y va surtout de leur bourse. En voici quelques flashs en attendant ceux des douze radars qui seront installés sur les axes routiers les plus dangereux du pays.

    Adoptée, en plein période de démobilisation, le 30 juillet 2009, la nouvelle loi, qui se propose en principe de s’attaquer aux fléaux des accidents de la circulation (4 morts, 13 blessés causés par 27 accidents par jour), a des relents mercantiles tant elle entend faire payer au conducteur fautif la moindre erreur.

    Pour vous donner une toute petite idée de ce code, vous êtes tenu de payer une amende de 100 à 200 dinars tunisiens si vous brûlez un Stop, si vous faites marche arrière sur autoroute, si vous détenez plusieurs permis d’une même catégorie de véhicule, si vous ne changez pas dans les temps la carte grise d’une voiture achetée, si vous n’informez pas à temps les services compétents de la destruction de votre véhicule, si vous ne disposez pas d’une visite technique valide pour votre véhicule, si vous n’obtempérez pas au contrôle des agents de l’ordre.

    S’agissant de l’excès de vitesse, une des principales causes des accidents de la circulation, l’amende à payer est fixée entre 120 et 240 dinars tunisiens pour tout dépassement de 50 km/heure de la vitesse autorisée. Idem pour tout véhicule mis en circulation et dont le poids n’est pas réglementaire.

    Pis, vous pouvez faire de la prison : six mois de prison et une amende allant de 200 à 500 dinars tunisiens si jamais vous conduisez en état d’ébriété, sans permis, en sens contraire sur autoroute, sans numéro de châssis … Un mois de prison et une amende de 120 à 200 dinars tunisiens dans les cas de conduite alors que votre permis est retiré, de non respect des signalisations de passage à niveau, de dépassement illégal, de fuite après avoir causé des dégâts à un autre véhicule, d’équipement du véhicule d’appareils détecteurs de radars.

    Autre nouveauté de ce code, la limitation du retrait du permis à trois cas contre sept auparavant : homicide et blessures involontaires, conduite sous l’emprise de l’alcool et refus de se soumettre à la procédure relative à la preuve de l’état alcoolique et la circulation en sens contraire sur les autoroutes, demi-tour en traversant le terre-plein et circulation sur des passages spéciaux.

    Selon le ministre du Transport, M. Abderrahim Zouari, l’étude sur la base de laquelle a été amendé le code de la route a révélé que «les permis de conduire ne constituent pas la meilleure solution pour limiter le nombre des accidents de la circulation».

    Les contraventions, quant à elles, sont reclassées selon la gravité en cinq catégories : six dinars, 10 dinars, 20 dinars, 40 dinars et 60 dinars tunisiens. Les amendes sont payées directement aux recettes des finances sans le recours aux juridictions. Et pour ne rien oublier: Le contrevenant sera informé dorénavant de son amende par voie postale (lettre recommandée).

    Le nouveau code ajoute aux sanctions pénales deux cas : la circulation à bord d’un véhicule dont le conducteur a délibérément masqué totalement ou partiellement les plaques d’immatriculation, avec possibilité de saisie du véhicule.

    Au-delà du détail, ce nouveau code peut poser un problème en ce sens où il exige beaucoup de self control lequel n’est pas une seconde nature du Tunisien.

     

    Extrait du : webmanagercenter.com - 01 Août 2009

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  • Comment se cloner cet été?

    INIQUE ou UNIQUE mais toujours « TMANIQUE »

     

    Dans un pays où presque tout s'arrête à 12h;  faut-il se dupliquer ou se cloner pour faire ce que l'on à faire en une journée... ?

     

    A quand la fin de ce calvaire inique dit "Séance unique"... ?

  • Lettre au Bon Dieu (2)

     

    Droit dans les bras de la Grande Faucheuse

     

    Une nouvelle autoroute s’installe péniblement et lentement reliant l’entrée sud de Tunis (niveau Z4) à  l’aéroport de Tunis-Carthage !

    Une bouffée d’oxygène à la capitale étriquée !

     

    Sur une dizaine de kilomètres, de gigantesques blocs de béton délimitent les deux voies de l’autoroute !

    Un détail cependant. Un simple détail. Un détail de poids !

     

    A la tombée de la nuit, l’éclairage (quand il n’est pas défectueux) de cette nouvelle autoroute urbaine ou voie express est réellement tardif et chaque voiture ne voyant aucun marquage sur cette route se trouve à quelques centimètres à peine de ces gros blocs de béton…mortel !

     

    A quand le traçage de lignes blanches délimitant les bords de cette autoroute et à quand des petits systèmes jaunes ou autres réflecteurs accrochés sur chaque bloc, pour éviter aux voitures de s’incruster contre ce béton-mortel-Sur-Autoroute ?

     

    Merci Père Noël de faire suivre cette doléance publique !

  • LETTRE AU BON DIEU

    C’est plus qu’un crime ! C’est une faute !

     

    Haro sur le baudet !

    Oui, j’ai commis un crime !

    Oui, je suis fautif !

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    Mais

    Je viens de « perdre 4 heures de ma vie » aux bureaux de la CNSS.

    Je viens de flirter de près avec l’absurde et l’aveuglement des rouages administratifs divers : CNSS, PTT et Banque ! Une simple page de la vie !


    Je me défoule en écrivant dans un but constructif. Je me défoule en lançant une bouteille à la mer aux bons soins du Père Noël, qui un jour peut-être, fera suivre mes trois requêtes, d’un simple actionnaire (une action) de l’Etat tunisien !

    Je m’explique.

    En quittant la CNSS, vendredi dernier, pour la mise au point d’un dossier privé, j’ai demandé en sortant, si mon officine n’était pas également redevable de 14,120 depuis 1992 ? Dans ce cas, je voudrai rapidement régler ce litige en essayant de retrouver des écritures et des souches de chéquiers, puisque c’est grâce à une souche de 1992…que l’épée de Damoclès a été suspendue et mon dossier réglé.

     

    Réponse du loup à la bergère : « Oui, vous avez un très grave problème Sir ! Votre quatrième trimestre2008 est impayé à ce jour et vous devez le régler et payer en plus toutes les pénalités de retard et les frais inhérents à ceci. »

     

    Waw ! Le verdict est jeté ! Le sort est scellé et la faute consommée !

     

    Après la visite de quatre bureaux, on me sort un beau carnet noir où est signifié ceci : « chèque de 923 dinars retourné par la banque émettrice pour cause de non provision »

     

    Le monsieur qui a les chèques dans son coffre étant absent, on me demande de revenir lundi pour voir tout cela de près. Ayant depuis toujours payé tout fournisseur et Débiteur à temps, je suis très étonné par la chose et m’empresse d’aller à ma banque UIB pour vérifier si ce chèque de 963d serait dans leurs écritures ! Aucune trace ! Nada !

     

    Lundi matin, un aimable directeur de la CNSS me reçoit dans ses bureaux et j’apprends le déferlement suivant de malchances successives :

     

    1/ Mon chèque n’était « pas signé » et la banque l’a renvoyé à la CNSS en mentionnant ce crime frauduleux (chèque non signé) de son fidèle client.

     

    -          Mais vous auriez dû au moins m’envoyer une lettre recommandée pour m’avertir ou au semestre d’après ne pas accepter mon nouveau payement si le précédent n’est pas payé !

     

    2/ Oui, la CNSS me sort de sa cave une lettre cachetée avec mon nom et avec  un  mot et cachet de la Poste disant, du 10 février 2009, « lettre non réclamée ».

     

    Je n’accuse pas comme Zola mais je demande :

     

    1/ A ma banque UIB qui n’a pas contacté son fidèle client (pour qu’il signe son chèque !) de me restituer les 128,870 dinars de pénalités et de frais, payés ce jour à la CNSS.

     

    2/ A la Poste de m’expliquer comment se fait-il que n’ai pas reçu deux avis réglementaires de LR ?

     

    3/ A la CNSS enfin : l’effort suivant :

    A l’heure où l’informatique est reine pourquoi ne pas ajouter sur une fiche client une mention disant « trimestre X impayé » et d’avoir ainsi le choix de :

     

    a/ Refuser le nouveau règlement du trimestre qui suit, avant le règlement de l’ancien tout en avisant le client des pénalités de retard qu’il encourt.

     

    b/ Encaisser le nouveau règlement et aviser le client du non payement d’un trimestre.

     

    Finalement, avoir un reçu de payement ne veut rien dire et ne signifie pas quitus.

    Si la CNSS adopte pour « ses clients » cette formule d’avertissement au guichet, quelques secondes peuvent éviter une tonne de paperasse et plus d’un désagrément, sans oublier certes que j’aurai dû vérifier au départ que mon chèque était bien signé !

     

    Merci Père Noël d’expliquer tout cela à la CNSS, à l’UIB et la Poste !