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partir

  • partir ou mourir?

    @ Votre avis

    .

     

    « Partir c’est mourir un peu »

    .

     

    ou bien

    .

     

    « Partir c’est vivre un peu » ?

    .

  • QUID VOYAGER ?

    A chacun son bout de chemin

    :-)

    Partir c’est mourir un peu !

    Con te partiro….

    Partir c’est Vivre un peu !

     

    Ou encore 

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    "Au premier voyage on découvre, au second on s'enrichit." (Proverbe touareg)

     

    "Qui a l'habitude de voyager... sait qu'il arrive toujours un moment où il faut partir." (Par Paolo Coelho)

     

    "Le plus grand voyageur est celui qui a su faire une fois le tour de lui-même." ( Par Confucius)

    "Le vrai voyageur ne sait pas où il va." (proverbe chinois)

     

    Et vous chers visiteurs, quel est votre choix ou quelle est votre devise de voyage ?

    ___________________________________

    demain:

    QUID AIMER?

  • partir...(suite et fin)

    une débauche insulaire

    La mémoire nous dévoile sous certains plis des réminiscences et des vadrouilles lointaines vers certains confettis flottants au grès des vents, de l’histoire et du hasard !  Plus au sud encore, c’est une débauche insulaire en Océan Indien avec les Seychelles, la Réunion et l’Ile Maurice, terres de rêves et d’évasions.

    Les Mascareignes avec ce précieux joyau, archipel aux 112 îles protégées par l’Unesco, au nez des polueurs et des pseudo-touristes : Les Seychelles…un des tous derniers paradis terrestres

     Puis des incursions en profonde Terre d’Afrique (Sénégal, Gambie, Côte d’Ivoire, Togo et Bénin) dans un monde si riche et différent aux problèmes presque insolubles. En traversant l’Atlantique je revois l’heureux et béni Canada, véritable terre promise bordant les U.S.A Au pays de l’oncle Sam la Californie, par exemple, restera cet éternel Paradis rêvé par tant de Grand Voyageurs. Plus au sud, avec le pouce en l’air, je revois cette cavalcade effrénée d’auto-stop, à travers seize pays d’Amérique Latine, d’Acapulco à Terre de Feu en retrouvant par l’Amazonie et en passant par Iguaçu la magique et le « Puputi Del Mundo », ou nombril du monde, Cuzco capitale Inca, lisière de Machu Picchu, titre de mon premier ouvrage, il y a vingt ans déjà. Une pieuse pensée à mes rencontres avec le Rey Pelé à Sao Paolo, Casius Clay à Lima, et Salvador Allende à Santiago au Chili, sans oublier un triste énième coup d’Etat qui me surprit en Bolivie. En Amérique Latine, le cœur chavire bien vite et la tête s’enflamme très fort.

    Plus à l’horizon se lève un nuage bleu mystique et cabotin. Il survole d’autres nouvelles contrées allant des Maldives au Sri lanka en passant par d’incroyables enclaves africaines riches en incroyables découvertes humaines et historiques :

    Ethiopie, Somalie, Swaziland, Lesotho, Zimbabwe, Angola, RDC, Congo, Niger et Mayotte par exemple….De partout cette soif d’apprendre, de comprendre et d’affronter le danger sans même penser à ce danger !

      En traversant l’Océan Pacifique je ressens avec délice ce choc éblouissant de corail et de lagon et ces journées surnaturelles ou presque, passées à l’île Bora Bora parmi ses deux mille cinq cents Tahitiens « FIU ». Que sont donc devenues vingt-cinq ans après ces îles de corail, de verdure et de débauche de couleur et d’amour souvent mal interprété, sous des colliers de fleurs ou de coquillages, ce paradis de Cook et de Gaugin ?

     De l’aéroport Faaa, à Papeete c’est le départ vers la nouvelle Zélande en franchissant la « Date Line » qui me fit râter un 9 avril, un jour d’anniversaire ou un an, le jour de mes 21 ans !   

      D’Auckland à Dunedin c’est la découverte d’une Grande Bretagne du siècle passé avec en prime une messe de minuit de pâques, dans une tornade de 4.500 kilomètres d’auto-stop au pays des Koalas et du Kangourou jusqu’à Darwin.

      Dans ce pays de Sir Sydney Cove, Ministre de l’Intérieur de sa gracieuse Majesté de l’époque, les descendants de ces passagers n’ont presque rien de commun avec la sauvage beauté de cette île lointaine pas plus peuplée que Los Angeles l’américaine.

      Une frêle petite main me sort de ma torpeur. Papa ! Papa ! Il faut quitter ‘’River Tiger’’. Le zoo de San Diego va fermer ses portes.

    Compatissant ... le nouveau voyage de la mémoire continue avec la découverte de la Californie 88, du Cap Vert 2006 avec ses Desperados exilés dans leurs montagnes et dans la même foulée de cette fin d’année, un pays fermé aux hommes, à la Paix et à la quiétude, la Guinée Bissau. Guinée qui ne reçoit que 500 « visiteurs » par an ( 76 millions pour la France) et où j’ai découvert des Humains au cœur plus grand que les pyramides d’Egypte et un paysage à vous couper…le dernier souffle !      

    Partir c’est vivre un peu.