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Rached El Greco - Page 48

  • Les amoureux des Seychelles

    SEYCHELLES LOVERS & FRIENDS =)


    Synonyme de rêve, de beauté et d’évasion, les Seychelles nous font rêver !

    Cet archipel est aujourd’hui un des PLUS beaux pays du monde et reste ancré dans le TOP 5 des paradis terrestres.

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    Le Consulat général de la République des Seychelles en Tunisie est à votre service pour rendre votre rêve réalité et pour vous procurer le moyen le plus simple d’y accéder, de votre pays de résidence !


    - Pour un voyage exotique en Océan Indien
    - Pour un voyage de Noces
    - Pour « refaire un voyage de Noces »
    - Pour l’amour de la nature
    - Pour le repos du guerrier
    - Pour le luxe qui frise le raffinement
    - Pour un Coco de Mer dit Coco fesses
    - Pour une plage parsemée de cocotiers géants qui gravitent de la terre à la mer
    - Pour une Vallée de Mai, à Praslin, ou l’Eden retrouvé
    - Pour l’île Aldabra aux tortues centenaires
    - Ou…pour un simple SPA à LABRIZ SILHOUETTE où le temps a depuis longtemps suspendu son envol

    WELCOME TO THE SEYCHELLES the most beautiful places in the world.

    sur Facebook :

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  • Tunis un dimanche!

    Pèlerinage dominical à Tunis

    15 ans après, rien n’a changé ! Les délicieux millefeuilles de la pâtisserie Garcia, la vieille cathédrale de Tunis, les bouquinistes sur trottoir, le Barbu aux yeux verts et Belgacem qui s’aventure vers une rue dite …

     

    Lovée au fond de la rue de Rome juste après les plus gros et beaux caoutchoutiers de la capitale, la pâtisserie de feu madame Garcia a toujours la même petite porte blanche branlante et une absence totale d’enseigne . En short blanc, tee-shirt noir  et baskets bleues, le fils quadragénaire de la pâtissière ne sert plus de millefeuilles après 11h ! Car tout sera vendu. Tout est si délicieux mais hélas la dose de sucre a doublé et fausse le voyage du palais.

    Question Nr 01 : Pourquoi tant de sucre ?

     

    La cathédrale de la « Roma della Africa » à Asmara en Erythrée, visitée la semaine passée, semble être un joyau face à cette vieillotte et sombre cathédrale de Tunis. Déserte à 10h du matin elle n’a que quelques bougies dansantes et une porte latérale pour illuminer ce que fut la Grande et belle Cathédrale de Tunis.

    Une africaine de la BAD, peut-être, sombre religieusement dans une profonde méditation face à la vierge Marie qui lui sourit.

    Dans une autre vie, peut-être, quand nous avions quitté la palais beylical de Hammam-Lif, nous habitions la rue Essadikia, face à cette cathédrale et près de l’ambassade de France… Des réminiscences qui au fait ne reviennent même pas, malgré plus de dix ans d’enfance dans ce quartier…

    Question Nr 02 : Que fait la communauté catho de Tunis ?

     

    Am Jilani le bouquiniste me fait visiter son antre à une encablure de l’ancienne Banque Centrale de Tunisie. 15 m2 de culture à étages, soit des dizaines de piles de bouquins qui tiennent dans un équilibre instable à un dinar le trésor. Un seul demi euro le livre !

    Il me parle de « Guy des gares » surnommé ainsi, dit-il, car « Guy Des Cars » le prolifique écrivain est lu dans les gares… je lui achète quelques mots fléchés et deux livres de voyage en profonde Asie.

    Question Nr 03 : Pourquoi est-ce qu’un kilo d’ail est plus cher qu’un livre dans ce pays ?

     

    Avez-vous vu un barbu sans barbe ? disait le poète. Je l’interpelle gentiment sous un arbre et lui demande le pourquoi de cette barbe sauvage sur un visage aussi jeune et serein avec en plus des yeux verts intelligents. Polytechnicien et informaticien il ne trouve aucun job à Tunis à cause de sa barbe. Personne ne veut de ce barbu « avec barbe sauvage » qui finira par trouver un simple job de télé-performance (soit téléphoniste dans un centre d’appel étranger à 230 euros par mois)! Dans un français châtié il tente de me m’expliquer que Dieu qui lui donna vie lui aurait commandé dans un hadith et même par un jihad ou ijtihad de porter cette barbe de soumission de Sunnite!

    -         « Tout cela pour vous garantir la porte du paradis ? »

    -         «  Pas du tout ! Car le paradis n’est pas seulement soumission à Dieu et application du coran mais le jour J, c’est le Bon vouloir du Seigneur. »

    -         « Et votre jeune épouse, porte-elle le voile ? »

    -         «  Elle n’a que 21 ans et ne peut hélas porter dans ce pays le nikab comme le prescrit la coutume ou hadidh, elle serait lunchée sur ma voie publique ! Elle restera à la maison et basta cosi ! »

    - Question Nr 04 : Pourquoi tout coller sur le Bon Dieu ?

     

    Reste en bout de quartier (où je n’irai pas) une « Maison bien ouverte » mais dite « close ».

    Tout un vieux quartier qui porterait les enfers de la capitale. Enfer pour celles qui y travaillent et pour les malheureux qui se sentent obligés d’y aller !

    Il me vient à l’esprit une blague de gynéco sur ce chaud quartier :

    Belgacem n’a que 17 ans et n’a toujours pas connu de femme ! Ses nuits sont torrides et journées bien tristes. Maladivement timide il n’ose aborder les filles malgré son physique de jeune athlète.

    Un jour, les copains se décident à lui faire perdre son pucelage et l’emmènent dans ces quartiers, alias  Zarkoun, à Tunis !

    La ruelle est étroite. Très étroite. L’odeur est persistante et même soûlante. Des dizaines de portillons se suivent avec à la clef une dame peu vêtue.

    Son visage passe du rose au pourpre risquant l’asphyxie en début de ruelle. La première péripatéticienne rencontrée le prendra en main, le happe, l’introduit dans son antre de 3m2 et se met en position de combat dominical. Elle dessous, lui dessus !

    Tout est sombre et seule une petit lampe rouge fait danser les étoiles qui sortent par milliers de la tête de Belgacem..

    Etant deux fois plus forte que lui et découvrant son côté novice et sa peur anesthésiante…elle le tire du bas vers le haut contre sa poitrine !

    -«  Trop haut ! » crie Belgacem

    Maladroitement et fortement elle le pousse des deux mains vers me bas !

    -«  Trop bas ! » crie Belgacem.

    Sans réfléchir elle le tire furieusement vers le sens inverse…

    -         « Trop tard ! » crie Belgacem

    Ainsi va le monde, un dimanche matin à Tunis...

    Question Nr 05 : Les hommes ont-ils encore plaisir à payer le plaisir ?

  • ZORBA LE GREC à Hammamet !

    On n’a plus le droit de « m’emmerder »


    Disert et érudit il vous charme en un clin d’œil ! Pétillant et beau il a dû faire chavirer plus d’un cœur ! Ce soir, à Hammamet, en bord de mer dans un petit paradis, lové dans un jardin luxurieux , je partage avec Zorba et ses amis, un somptueux dîner qui fera ce cette soirée une mémorable journée de fin d’été…

    Nous sommes à nouveau chez KB, le jeune retraité-évadé de la semaine passée et sa table est conviviale et hospitalière !

    Zorba sort du lot. Il tient à bien lacer ses baskets blanches et à garder le torse nu, arborant fièrement et sans arrogance son buste musclé.
    Ses yeux pétillent d’intelligence et, tout comme Ulysse, il semble à 56 ans (qu’il ne porte pas et point) revenir d’un long voyage, plein d’usage et de raison !


    Il arbore derechef sa philosophie de la vie et son approche de l’Autre:

    C’est un Amazigh, un Berbère du sud tunisien qui a élu domicile au Cap Bon, après plus de dix à Paris. De Zorba il a l’allure et le portrait. A Hammamet il vient trouver refuge, paix et vie dans une maison, voisine, en bord de mer !
    -« A mon âge, on n’a plus le droit de « m’emmerder ». Ce qui me reste à vivre est inférieur à ce que j’ai déjà vécu et je veux maintenant me consacrer à moi-même. J’ai assez donné. »


    -« Ah ! Les femmes ! Je les aime que voulez-vous ? Mais que pouvez vous faire avec votre épouse après la naissance de deux fils, jumeaux, et d’une fille ? L’appeler maman ou ma chère petite sœur ? Pourtant le leur ai tout donné, temps, amour et argent ! »
    -« En vérité, c’est pire que cela ! Un mari n’est plus synonyme que de « banque » et tout ce qu’elle aime dans cette vie se sont ses enfants auxquels il ne faut pas toucher. La louve protège sa meute, bec et ongles tendus ! Quant au géniteur, son mari, il sera le grand oublié de l’histoire…sauf dans son rôle d’éternel banquier ! »

    Du nerf de la guerre il dit :

    -« l’argent est devenu la véritable religion du pays et éliminé la majorité de nos nobles valeurs ! Tout est négociable et l’avidité n’a plus de limites. C’est fort inquiétant et je me révolte. »

    Pourquoi les Juifs ont-ils quitté la Tunisie ?

    -« C’est fort simple et c’est un concours de plusieurs facteurs réunis : 
    1/ Quand A. Ben Salah instaura son désastreux système coopératif, les juifs de Tunisie perdirent également leurs terres et eurent très, très peur.
    2/ Leurs enfants allèrent très tôt étudier en France. Suivent amours, mariages et installation en France. Rares sont ceux qui ont supporté l’éloignement de l’enfant qui ne veut plus revenir en Tunisie.

    3/ La France, pour isoler les indépendantistes en herbe, offrit au lendemain de la grande guerre, la possibilité à tous les juifs tunisiens, d’obtenir immédiatement un passeport français.

    4/ La guerre de six jours, en Israël, en juin 1967, leur fit peur de ne pas être dans un pays non juif et sécurisant !


    5/ l’Etat d’Israël qui prenait pied promettait à toute la diaspora juive du Maghreb et d’Europe centrale monts et merveilles. Les petits commerçants et de la Goulette et de la Hara de Tunis furent les premiers à partir et peut-être les premiers à regretter l’exode.

    A cette époque, juifs et musulmans vivaient dans les mêmes quartiers et mangeaient le même pain… mais hélas, ces cinq points éloignèrent nos frères juifs tunisiens de la patrie !
    Dieu merci ils sont maintenant très nombreux à revenir vers leur Tunisie, leur terre, avec passion et joie !

    Zorba a décidé de quitter toutes ses attaches et de vivre de ses rentes

    tout en assumant son rôle de chef de famille et le plus souvent possible il habite ce havre de paix à Hammamet, avec ses amis retrouvés, tous préretraités, autour d’une bonne table et d’une enfance retrouvée !

    Daurades et loups se succèdent sur notre table. Un bon thon rouge venu de je ne sais d’où se laisse manger et déguster comme du caviar. Les fromages aux fines herbes accompagnent des bières glacées et souvent panachées. De beaux et gros raisins rouges ferment la marche avec un bon thé vert à la menthe…

    Au loin, le ressac de la mer se confond avec le bruit du silence et la plate-forme pétrolière du Cap Bon jaillit à l’horizon de mille lumières…


    L’amour est le credo de Zorba le Berbère et les femmes resteront cette légère ondée qui inonde son cœur et qui lui donne envie de continuer, dans la joie, le voyage de la vie !
    De Tunis il connaît tout un chacun et de la politique mondiale toutes ses arcanes et n’a d’hantises que des barbus. Du monde il fuit les despotes et en Obama il voit une lueur, un espoir d’équité ! Mais saura-t-il se libérer du carcan des diasporas ?


    De son regard intelligent crépite une petite voix fluette et joviale : « Aimez-vous les uns les autres et foutez-moi la Paix » semble dire Zorba en continuant à distribuer son amitié et son amour à son giron!

    Merci Amigo de cette si belle et riche soirée de septembre, à Hammamet, où nous fûmes tous conquis par ton charme, ta grandeur d'âme et ta gentillesse!
    ADIOS ZORBA : Kalimera, kalinichta et kalispera!

  • Voyage à Hammamet(suite)

    Un café turc et un macchiato à Hammamet

    Après le délicieux macchiato de Guy le Nîmois, nous voici embarqués une heure après dans un autre voyage. Un autre univers. Un autre monde. Un voyage…sur la plage, entre Nabeul et Hammamet ; le jour même de l’Aïd !

     

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    Assis sous un arbre, en bord de jardin et face à la mer, sous un parasol rouge, dont il épouse les rondeurs, il se cache sous une casquette « Hitachi » bleue.

    Trois boites de médicaments jonchent la table blanche et même le gazon vert ! Il invite le « rodeur-voyageur-en-bord-de-plage » à s’asseoir à sa table, face à la grande bleue, si avenante et si calme ce matin !

    Un transistor égraine  une douce musique lancinante contrairement à un téléphone cellulaire gris qui crépite sans arrêt ! De grosses lunettes noires masquent l’œil de mon hôte mais pas son assurance, ni son flegme !

    Que fait, seul, ce tout jeune quinquagénaire, dans une si grande maison en bord de mer, avec tant de médicaments (sérieux), une grande bouteille d’eau glacée-givrée, une boite de gâteaux et sur le gazon garée une grosse BMW 747 rutilante noire, jeune de 10 ans au moins ?

    Il parle, parle et parle encore de tout et de rien. Le ton est monocorde mais pas monotone !

    Son aïeul est arrivé en Tunisie avec les Ottomans et fut un jour reçu dans la cour du Bey ou Roi du pays, pour examiner, en tant que médecin, une jeune patiente dite perdue, la fille du Bey ! Miracle, elle sera sur pieds en quatre jours ! Le Bey lui offre son cheval et une escorte de 4 gardes avec cette phrase :

    -         «Prends ce cheval va vers le Nord Ouest de Tunis et tout terrain que tu traverseras t’appartiendras ! »

    Le médecin traversa une distance de sept gares et revint au Palais du Bey. C’est ainsi que la famille de KB possède ce jour encore : 72 000 hectares de bonne terre agricole.

    Mais que fait ce riche héritier affalé sur sa profonde chaise blanche à Hammamet ?

    Sa vie est un roman ! Il a fuit le monde et dit à tout le monde qu’il était à Bizerte mais loua à Hammamet cette villa somptueuse, fuyant femme et enfants et boulot…Il vient de perdre 40 Kg et veut enfin prendre son hygiène de vie en main.

    L’homme papillon se dévoile et raconte

    -«  je commençais ma journée en ingurgitant, à jeûne, 4 bières. Suivent durant la journée 20 autres pour boucler les deux douzaines de bières par jour. A midi, une bouteille de bon vin rouge (Vieux Magon en général) et le soir presque une bouteille de whisky. Le bouchon métallique de la bouteille me servait souvent de tasse… ! »

    Entre mon café, mon resto et mes autres affaires, je passais la journée à picoler dans la joie et la vraie bonne humeur ! Tout allait à merveille. Femmes et argent se succédaient à vive allure et mes nuits étaient musicales avec un trio qui passait tous les soirs chez moi, à  minuit, pour amuser ma table toujours ouverte aux nombreux amis alléchés par cette opulence.

    Un soir c’est la cata. Une ambulance vient « ramasser » un homme tombé dans un coma éthylique profond. Suivent un régime draconien pour passer de 140 Kg  à 100 Kg, le placement d’un pacemaker et l’abstinence totale…en alcool, mais pas en femmes…

    • « Mais si jeune et déjà avec tout ce passé ? »
    • « C’est rien mon ami cela ! Mes aventures ont commencées quand j’avais 5 ans et je suis, aujourd’hui, à mon 7e divorce! »

    -«  Un jour, à l’école, la maîtresse m’a giflée injustement devant mes camarades! Je n’avais que 5 ans mais je voulais prendre rapidement ma revanche ! Je passe dans un grand jardin hivernal chercher une grenouille. Je l’attrape et la cache dans ma poche. En classe, je profite de 10 minutes de récréation, pour me diriger vers le sac à main de ma maîtresse, l’ouvrir et y glisser ma grenouille…et fermer soigneusement le sac ! »

    -« Elle eu la peur de sa vie et finit par trouver le coupable car je fus le seul qui pu attraper la grenouille qui s’évada dans la salle de classe. Elle me donna un dinar et me dit : « Quittez cette école KB !»

    Mon père décida de me mettre de suite à l’école Bouchoucha, avec 1 500 jeunes internes, mais je ne rentrais à la maison que tous les 3 mois. Pour mon père c’était la seule solution. Il faut avouer aussi qu’il se maria à 17 ans avec ma mère qui n’en avait que 15… j’étais donc un fruit à problèmes. »

    -« Un jour, au bout de deux ans, l’école changea de cuisinier et je décidais d’imposer une grève de tous les élèves avec nos repas jetés en même temps sur le sol. J’avais alors 7 ans…J’étais déjà, enfin, dans ma peau de chef ! »

    -« La vie active commence et très tôt je reprends les affaires de famille dans une carrière sur nos terres et enfin j’ouvre un restaurant et un café en banlieue nord de Tunis! »

    -« Mon faible second après l’alcool : c’est les femmes ! La solution est fort simple dans ce pays où l’argent ouvre toutes les portes ! Il suffit d’un bouquet de roses et d’un diamant pour demander la main d’une très jolie fille ! Elle vivra avec moi 3 ou 5 ans et demandera à partir. Je suis ainsi à mon 7e divorce et toutes généreusement remerciées ! A bon entendeur merci ! »

    -« Regardes sur mon portable ces sept beautés divines, mes Ex ; celle-ci par exemple fut Dauphine de Miss Tunisie, il y a 15 ans ! Toutes ces belles filles viennent d’un milieu modeste et trouvent avec moi un conte des mille et une nuits! Un standing mon ami ! Elles adorent cela ! En plus j’aide leurs parents à boucler tel ou tel projet ou à payer telle dette ! »

    -«  J’en ai une que je garde à Paris, dans un petit studio que j’ai acheté ! Elle vit avec mon fils, de 16 ans, celui qui vient d’appeler pour me dire Aïd Mabrouk »

    -« Actuellement je change de cap, je vais encore me séparer de la dernière qui est déjà en partance avec ses 3 enfants et je vais mener une vie d’ascète à Hammamet ! Plage, mer, musique et mes dizaines de médicaments… peut-être même un petit régime si je me décide à enfin faire un peu de marche pour me décarcasser »

     

    Il a le souffle court ! L’effet de deux paquets de cigarettes par jour est encore présent, malgré l’arrêt total de fumer. Il se dirige vers sa cuisine et entame, avec amitié, la préparation d’un café turc légèrement sucré et servi dans une belle tasse en porcelaine blanche de Limoges. Merci !

    Adieu l’Ami ! Tu m’as rappelé mon escapade aux Îles Comores et cette merveilleuse nuit passée avec Bob Denard, le roi des mercenaires français, qui m’ouvrit son cœur et me parla de sa vie !

    En chaque homme se cache une montagne de tendresse et un jardin secret. KB saura un jour mettre fin à la bouteille, à la vie effrénée et peut-être même à se réconcilier avec la vie en écrivant sa propre saga… ici même, légèrement évoquée !

    Bonne santé Kacem alias Gacem et Be happy amigo !