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bush

  • Trois ans pour débusher!!!!

    Trois ans de prison

     

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    Pour Montazar, le lanceur de chaussures, Irakien, contre l’ex-président américain George W. Bush

    Une chaussure en guise d'antidote à tant d'injustices
    Un lancer, certes non pensé, qui écrivit une page d'histoire
    Une injustice bushée qui ne sera jamais réparée
    Et un pauvre monde passif qui laisse faire...


    Chausure-Chaussure!

    Un petit geste pour laver "virtuellement" un horrible affront et des centaines de milliers de victimes:)


    Cette paire de chaussures fera date, jurisprudence et émulation.
    L'arme du faible est souvent sonore:)

    Give Time 2 the Time !

  • EN GARDE A VUE CHEZ BUSH ?

    ARRIVĒE AMĒRICAINE


    (Suite du voyage. Escale N°2) Notre avion a près d’une heure de retard et l’hôtesse "d’Air Désolé" (ce qu'elle n'est même pas!) qui accueille, à Miami, ses passagers à la sortie de l’avion n’est pas au courant de notre situation. Au box même de la célèbre compagnie nationale française, personne n’est au courant de notre correspondance et ne peut nous éviter de la rater.

    Finalement, une jeune responsable polyglotte daigne commencer les formalités de passage. Il nous faut alors passer l’immigration et nous présenter à l’embarquement de la TACA. J ’interpelle un policier pour nous aider mais il me répond simplement :

    « c’est à votre compagnie de préparer sur une fiche verte tout un dossier d’immigration en transit et d’appeler deux personnes de la sécurité pour prendre vos passeports et vous escorter ».

    La dame d’Air Désolé acquiesce et se met enfin à remplir deux dossiers complets. Arrivent, soudain, deux policiers d’origine cubaine, en chemise blanche et pantalon bleu, bardés d’une dizaine de badges. Notre destin change de mains. Ils nous font passer l’immigration par une file spéciale et gardent jalousement nos papiers. N’ayant que des bagages à main, nous demandons à aller directement à la salle d’embarquement ou de transit pour attraper notre vol TACA. Mais c’est déjà l’heure, les guichets de la compagnie salvadorienne sont déjà fermés !

    Soudain, c’est l’enfer, la déception et la rage.

    Deux autres policiers prennent la relève, nous encadrent et nous demandent gentiment de les suivre vers le lieu de notre nouvelle résidence. 24 heures de garde à vue (ou prison ?) chez W. Bush en attendant le prochain vol (à la même heure) pour Managua avec la consigne suivante : ne pas s’éloigner de plus d’un seul mètre, ne pas boire une goutte d’alcool et obéir aux ordres !

    Crier, prier ou dialoguer ne sert absolument à rien. Air Désolé n’ayant pas prévenu l’aéroport de Miami, nous sommes jetés aux orties et aux requins.

    Comment sortir de cet enfer bushé ?

    Comment abandonner notre périple en Amérique centrale ?

    Comment accepter la prison ?

               (@suivre: Le secours de Bill Gates ?)