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Tunisie - Page 5

  • Au Travail! Go! Go! Go!

    Se mettre au travail immédiatement en Tunisie !

     

    La Révolution des Braves risque de piétiner et de s’enliser si on ne passe pas, immédiatement, à la phase 2.

    Un gouvernement provisoire a été mis en place avec notre confiance pour mener à bon port, dans 6 mois, des élections démocratiques et libres. Et ce, pour la 1ère fois en Tunisie depuis 60 ans.

    La seconde phase est particulière et capitale : il s’agit du nerf de la paix, l’économie ! Il est impératif de s’atteler à la tâche et de se mettre immédiatement au travail.

    Aujourd’hui, c’est l’économie qui prime. Avec plus de 8000 milliards de dinars envolés par Machiavel Ben Al Capone, 1,5 tonne d’or volée par sa complice dévastatrice le jour de son départ, et des milliards de dinars formant la corbeille de BENTRA (Ben Ali Trabelsi) sous forme de plusieurs holding volés et rackettés, qui vont de l’aviation civile à l’hôtellerie en passant par les banques et les commerces, la Tunisie doit éviter le gouffre financier. La solution est simple et logique.

    Se mettre au travail implique un rendement de 8h sur 8h de travail, soit 4 fois plus que ce que nous avons fait durant ces 20 dernières années.

     Se mettre au travail implique la chance de pouvoir employer près de 2 millions de jeunes Tunisiens sortis de nos écoles, lettrés, éveillés et dynamiques et voulant à leur tour vivre leur vie. Cette potentialité, peut-être unique dans cette région du monde, est une bombe d’espoir et de confiance en l’avenir.

    Se mettre au travail implique de reprendre le chemin de la Corée du Sud, de Taïwan, de Dubaï et de Singapour, par exemple. Sur un plan économique, ces pays ont, par la force du poignet et par la volonté politique de ceux qui les dirigent, réussi à rejoindre les nations développées et à offrir à leurs enfants sécurité et prospérité.

    Se mettre au travail, c’est montrer maintenant une image de la Tunisie qui encouragera tout investisseur à créer du produit sur notre terre d’Ifriqya. Les Scandinaves, les Allemands, les Français, les Italiens et les Anglais, par exemple, trouveront chez nous sérieux, sécurité, travail et excellent rendement pour investir et profiter eux-mêmes de nos structures.

    Il est impératif d’éviter deux gouffres :

    -        Se cramponner à vouloir tout remettre en question actuellement. Ce n’est pas possible. Rome s’est bien faite en 7 jours. Acceptons la situation nouvelle et faisons lui confiance pour 180 jours.

     

    -        Ne pas Se mettre au travail immédiatement, c’est précipiter la Tunisie dans une irréversible crise économique indigne de la Révolution des Braves.

    Plus tard, la totalité de l’architecture juridique du pays, et l’ensemble de son infrastructure économique devront être remodelés pour permettre rapidement élections municipales et présidentielle. Un Etat de droit sera crée et offert aux enfants de la Révolution des Braves.

     

     Rached Trimèche

    Citoyen tunisien

  • Face à Machiavel Ben Al Capone

     

    LA RÉVOLUTION DES BRAVES

           Ce que la Tunisie est en train de vivre est incroyable et exceptionnel dans notre petite planète bleue !

    Un jeune diplôme désabusé de la vie et des injustices administratives s’immole par le feu et tout un pays s’enflamme et affronte polices et milices du dictateur pour libérer le pays. En quatre semaines !

     

    Notre jeunesse découvre soudain une nationalité et un nationalisme : « TUNISIE ».

    Bourguiba a sorti le colonisateur français en douceur et n’a pas eu le temps d’insuffler au peuple libéré LE nationalisme.

     Ben Ali, a usurpé le pouvoir par un coup d’Etat militaire et n’a pas laissé au peuple l‘occasion de devenir patriote. Il l’a fait entrer dans une religion nouvelle « Le vol et la corruption », par toute sa famille et ses structures étatiques et occultes !

     

    Notre jeunesse éduquée, cultivée, ouverte et courageuse a puisé dans les racines de son histoire s’est lancée dans la rue, en Intifadha, et d’autres ont utilisés le  Web et  Facebook pour conduire cette révolution, sans peur des balles ni du feu !

    Notre jeunesse a écouté le tyran (parole parole… de Dalida) déclarer, il y a quatre jours, qu’il allait créer 300 000 postes de travail en une année (autant que les USA) et a décidé, hier soir, de créer en une seule nuit : 600 000 postes de travail. Ils sont descendus au bas de leurs immeubles ou face à leurs maisons, gourdin en main, malgré le Couvre Feu et l’état de siège, pour stopper les milices sanguinaires laissées actives par Ben Ali !

     

    L’Amérique poursuit deux guerres depuis de longues années, en Afghanistan et en Irak, et échoue aux deux, malgré 500 000 soldats et des milliards de dollars investis!

    Sans l’aide de MAM (au nom de Sarko) qui voulait offrir à Ben Ali, la semaine passée, son savoir policier (pour tuer plus de jeunes) et sans aide américaine ou autre, notre jeunesse a levé la tête, bombé le torse et affronté la Rue pour inscrire en lettre de sang « l’INDEPENDANCE DE LA TUNISIE » !

     

    La Tunisie, par un jeune diplômé, immolé devant le Gouvernorat de Sidi Bouzid et par une jeunesse désarmée et assoiffée de liberté, humiliée dans da dignité, affronte à main nue police et milice et a vécu en trois semaines les affres de Gaza et ne s’est pas arrêtée. Hasta la victoria !

     

    A chaque discours de Ben Ali « elle éventrait ses propos » ! Au 3e et dernier discours(en une semaine) elle prend d’assaut les Rues de Tunisie répétant : « Ben Ali dégage » !

    Pris de panique, « Machiavel Ben Alcapone », prend la fuite, la queue entre les jambes suivis des 40 voleurs de sa tribu Trabelsite !

     

    Aujourd’hui, trois faits s’imposent :

     

    1/ Cette Révolution des Braves, dite du Jasmin, fera des émules dans un monde arabe et orientale anesthésié par ses dictateurs : de l’Egypte à l’Iran en passant peut-être par l’Algérie, le Maroc, la Lybie  el la Jordanie par exemple, pays qui comme l’ex Tunisie de Ben Ali, où les riches sont honteusement plus riches et les pauvres lamentablement plus pauvres!

     

    2/ Il faut avoir le courage de ne pas avoir peur ni de semer la peur ! Avoir le courage de s’unir ! Avoir le courage de continuer la lutte et de stopper les milices, tout en réclamant ouvertures et démocratie tous azimuts !

     

    3/ Il faudrait que notre Tunisie ouvre rapidement ses élections présidentielles, législatives et municipales dans la transparence et aux électeurs de chasser de l’Urne les Diabolitins en herbe ou les Diables déguisés voulant nous conduire dans une nouvelle dictature ! Aucun extrémisme n’aura ni pied ni racine en Tunisie ! Nada ! Jamais !

     

    Foi, gratitude et déférence à notre jeunesse qui saura poursuivre le combat et être digne de notre longue histoire : 3050ans de Carthage et 7060 ans de Capciens par exemple !

    VIVE LA TUNISE

    VIVE NOTRE JEUNESSE

    Continuons notre lutte civilisée dans l’esprit de Bourguiba. Avec courage et abnégation !

     

  • RAOUL JOURNO & HABIBA MSIKA

    TUNISIE MULTIPLE

    Raoul Journo, né le 18 janvier 1911 à Tunis et décédé le 22 novembre 2001 à Paris, est un chanteur tunisien et compositeur de musique arabo-andalouse.

    De confession juive, Journo est surtout connu pour ses talils, des compliments et vœux adressés aux invités lors d'une réjouissance (mariage, Bar Mitsvah, circoncision, pèlerinage, etc.), à tel point qu'aujourd'hui encore, ses textes et musiques sont repris entièrement par les orchestres lors de ce type de soirées.

    Après son départ pour la France en 1965, il retournera en Tunisie à plusieurs reprises.
    Journo a marqué la culture juive aussi bien en Tunisie, qu'en Israël ou en France où les airs de ses chansons sont, avec ceux de Farid El Atrache, parmi les plus utilisés pour les prières traditionnelles juives.
    À sa mort, Raoul Journo est inhumé à Jérusalem.

    Connaissez-vous le célèbre chanteur CHEIKH EL EFRIT?

    de son vrai nom de famille, Israël Is sirène ROZIO dit CHEIKH EL IVRIT et transformé en Cheikh el Afrit!

    Il est né à Tunis en 1884 d'un père marocain et d'une mère tripolitaine. Il n'eu pas d'enfance heureuse: son père était reparti au Maroc, le laissant lui et ses six frères et sœurs auprès d'une mère sans ressources. Je te passe un peu les détails, Il exerça pendant un certain temps le métier de pâtissier à Sidi Bou Ardid; il devint ensuite pilonneur de café. En actionnant son lourd pilon, il chantait tous ce qui lui passait par la tête. Un jour, un mélomane l'entendit (un fenen) Impressionné par la puissance de sa voix, il lui conseillât de se lancer dans la chanson. Il démarra sa carrière à 18 ans. Il devint ainsi l'animateur préféré des soirées du mardi que le Bey donnait dans son Palais de Hammam-Lif.Par la radio et les disques sa voix fut propagée dans tout le monde arabe. Il s'était marié en 1919 et eut huit enfants. Ne sachant pas écrire, c'est une de ses filles qui l'aidait à transcrire ses chansons, en l'aidant au piano pour améliorer ses compositions. Il ne savait jouer d’aucuns instruments

    et par exemple: HABIBA MSIKA

    Habiba Msika: née en 1903 à Tunis et décédée  en 1930 à Tunis, elle est une chanteuse, danseuse et comédienne tunisienne. Nièce de la chanteuse Leïla Sfez et porta le nom de MARGUERITE MSIKA
    Elle gravit rapidement les échelons de la gloire sous le PSEUDO d'Habiba (« bien-aimée »). Prototype de la femme libre et maîtresse de son destin,cantatrice et actrice audacieuse, adulée par la population tunisienne autochtone, Msika est un véritable phénomène de société à son époque.

    Maîtresse du prince égyptien FOUAD à la même époque, elle fait la connaissance de Eliahou Mimouni qui est un riche israélite  de Testour follement épris d'elle : il va jusqu'à lui construire un palais . Elle quitte quand même ce dernier et entame une nouvelle idylle avec un ami d'enfance, Mondher Maherzi. Enceinte, elle décide de l'épouser.

    Au matin du 20 février 1930, son ex-amant Eliahou Mimouni pénètre dans son appartement de la rue Alfred-Durand-Claye à Tunis, l'asperge d'essence et la brûle vive. Grièvement brûlé à son tour, il meurt peu après. Msika est inhumée au cimetière Borgel de Tunis, contrairement à Raoul Journo!

    Riche patrimoine tunisien conforté par la Tolérance et l'Ouverture!

  • Vous aimez la bière?

    La bière tunisienne à la conquête

    de la Libye et de l’Afrique subsaharienne

    Si les Tunisiens sont de véritables champions maghrébins de la consommation de la bière, avec une moyenne de 12 litres par an et par habitant, les Libyens semblent vouloir devenir des challengers, du moins dans le marché de la "bière sans alcool". Preuves à l’appui. La Société Frigorifique et Brasserie de Tunis (SFBT) annonce qu’elle détient déjà une part de 30% du marché libyen bière "halal". Entendez la bière sans alcool. Selon Hamadi Bousbia, PDG de la SFBT, les Libyens raffolent de la marque Celtia sans alcool.


    Mieux encore, M. Bousbia annonce que sa société est également à la conquête du marché d’Afrique de l’Ouest, grand consommateur de bières également. La SFBT y exporte déjà 267 463 hectolitres de ses bières et ce chiffre semble infinitésimal avec les perspectives d’un avenir des plus prometteurs pour la bière tunisienne. Aux dernières nouvelles, la Libye s’apprêterait à autoriser la commercialisation, dans ses hôtels, de la bière ordinaire (avec alcool), selon les déclarations du PDG de la SFBT.

    En somme, l’année 2009 était une année de bon cru pour le groupe. La SFBT a enregistré une stagnation des ventes de la bière en volume soit 117 millions de litres, et ce malgré les conditions climatiques défavorables du premier semestre, l’entrée de la concurrence, l’augmentation des prix de certaines matières premières et une mauvaise saison touristique. 
    En valeur, la branche bière a cependant réalisé une augmentation de 1,78%, pour passer de 62 millions de dinars à 63 millions de dinars. Pourtant, beaucoup pariaient, au vu de la conjoncture, à une baisse.

    (selon Businessnews)