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My Point of View - Page 28

  • Lettre au Bon Dieu

    Ah ces assassins !

    (Echki Errabi 2). Qui va arrêter ces assassins qui hantent nos cafés, nos restaurants, nos trains, nos bus, notre administration, notre université, nos hôpitaux et tous les lieus publics de Tunisie?

    Sans vergogne ils vous toisent !

    Sans gène ils continuent !

    Sans courtoisie ils persistent et signent !

     

     

    Qui appliquera une loi ?

    Qui apposera un interdit ?

    Qui osera les défier ?

    Le Fumeur passif est hélas encore plus fragile que le Fumeur-assassin-volontaire !

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    Dieu reconnaîtra les siens !!

    @ suivre
  • Echki Errabi !

          Lettre au Bon Dieu                         
                                            
          Quand je suis rentré d’Australie pour m’installer                  
          en Tunisie,   l’ancien Maire de Ben Arous,                 
          feu Si  H.K, m’a posé toutes sortes  de petits                  
          problèmes, pour retarder l’achat d’une officine !                  
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             J’étais très jeune et dépourvu de relations !                  
             Je ne voulais pas trop déranger mon père                    
            (qui m’a déjà acheté cette pharmacie en question)                
            et voulais m’en sortir seul des méandres                    
            de notre chère administration !                        
            Echec sur toute la ligne !                    
            Du fameux:               
            « Erjaa Ghodwa » ou « Revenez demain »                  
             à l’impossibilité de trouver un document !                          
             Il fumait cigarette sur cigarette et changeait de siège               
            toutes les minutes !                    
            Le Maire est furieux et pour se débarrasser de moi,                  
            qui refusait d’attendre un mois de plus,                    
            il me lança :            
             « Ichki Errabi » ou Va te plaindre au bon Dieu !                          
            72 heures plus tard j’étais courtoisement          
             convoqué chez le Maire.                    
            Sa main tremblait, sa cigarette tombait          
             et son front perlait de sueur                  
                     et il  me disait :                    
              -  Vous avez donc osé vous plaindre          
             et écrire au Bon Dieu ?                             
             Oublions tout et voici votre document demandé !                           
                       Oui !                  
                  J’avais écrit une supplique au Bon Dieu avec               
                  copie INFO au Maire !                          
                   Devant le succès de la chose,               
            j’ai employé ce  même petit artifice trois autres fois                    
        face à des portes closes et cela a marché !                    
      LA peur du Demain, de la mort et de l’éventuelle autre vie               
        ont souvent raison des empêcheurs de tourner en rond !                          
                  Aujourd’hui,          
             trois problèmes sociaux quotidiens me chiffonnent               
                  au plus au point !                         
                  En simple citoyen de Tunisie          
             je vais me plaindre au bon Dieu                  
                     dans les trois prochains   Posts et               
                  demander secours et assistance à citoyen !                          
                       @ suivre                       

  • (4) Les garçons en Corée du Sud

    Dans la profonde nuit de Séoul

    Le voyage de la vie avec mes enfants continu. Nous sommes à Séoul après un long, très long périple en Chine !

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    Le hasard, ce curieux et divin guide des voyageurs nous logera dans un des plus beaux hôtels du pays, à un prix alléchant et promotionnel : Le Noga Hilton Séoul.

    De surcroît au 4e étage à l’Executive floor !

    Nous sommes en fin d’après midi et décidâmes mon fils et moi de profiter du confort de cet étage, pour récupérer un peu, en attendant la découverte de Séoul pour demain matin!

    Mon fils est comme un poisson dans l’eau avec sa salle fitness du 4e étage et avec toutes ces victuailles et boissons offertes à l’étage 24 heures sur 24 !

    Bref, c’était le repos du guerrier pour une petite…demi journée.

    Vers deux heures du matin, un je ne sais quoi me réveille pour découvrir le lit de mon fils aussi vide que notre petite suite voyageuse ! Je vois rouge ! Je vois noir !

    Entre éveil et sommeil je titube vers la salle fitness pour aller le sortir de ses altères et tapis roulants. Niet. Nada. Aucune présence !

    Je parcours le hall et tous les salons de l’hôtel jusqu’à 4 heures du matin. En vain !

    Vert de rage ou de peur…j’entends une porte glisser et mon fils qui s’engouffre à pas feutrés… encore une fois je n’ai pas su contrôler ma colère et ma peur…

    Lui, montagne d’amour, le prend sur lui et me persuade à m’habiller !

    Commence alors, à 4 heures du matin,  une des plus belles nuits d’Asie ! Mon fils, devenu expert, me fait le tour du propriétaire dans tous les bars, troquets et bistrots de Séoul ou les GI américains se bousculent en titubant…

    Reste ce fugitif regard de l’enfant blessé par ma réaction première. Regard que je ne suis jamais arrivé à effacer de ma mémoire !

    Reste ce geste d’amour de l’enfant vers son père pour sauver une soirée et un voyage !

    @ suivre

    (5) Les garçons à l'île Rodrigues

    (6) Papa POURQUOI n'es-tu pas milliardaire ?

  • Les garçons en Alaska (3)

    Sur les routes du monde

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    (Suite 3: Instinct de père). Dans le monde du voyage c’est différent. Il existe comme un pacte non écrit entre les voyageurs ! Chacun essaye de faire plaisir à l`autre, lui faire partager ses passions et ses visions et profiter de l`instant d’aventure avec cette énorme joie de pouvoir découvrir ensemble : l`Autre, le monde, la vie et tout cela à un rythme souvent infernal et si délicieux.

    Le chef c’est toujours l’enfant que je présente aux autres comme «  He is my Boss ». Tout cela a toujours très bien marché à travers des dizaines et des dizaines de pays nouveaux, des dizaines de Stops, des centaines d’avions et de bus à travers la planète. Le menu quotidien est si riche et diversifié : Cueillir à la louche la Culture du monde et s`en abreuver. Sans modération. Avec à la clef mille et une aventures.

    Tout cela se passe sans accros. On trouve toujours un compromis à tout et l`amour mutuel nous sort de toutes les impasses. Depuis de très longues années j’essaye de voyager avec un seul garçon à la fois et quelques mois plus tard avec le second etc.

    Tout marche à merveille, si l’instinct protecteur du père (abreuvé par exemple à la Citadine de Marseille) ne s’en mêlait sans crier garde…

    Des fois, c’est vrai, d’une façon un peu trop brusque voire inattendue pour l’enfant !

     EN ALASKA

    On venait de rentrer d`un des plus incroyables et beaux coins du monde : une croisière en bateau polaire vers « les 24 glaciers », au nord de l’Alaska. Au bout du monde !

    Notre chambre d’hôtel est la bienvenue et un copieux dîner exotique accompagné d’un bon rouge nordique fera de ce moment un agréable instant de Voyageurs heureux !

    Il est nuit certes mais il ne fait pas nuit… Les rideaux bien que tirés à fond laissent passer une insipide raie de lumière. Le sommeil nous gagne et Morphée nous emporte dans ces bras généreux. La journée fut belle, longue, rude, dure et surtout si riche en découvertes nordiques dans nos glaciers polaires.

    Vers deux heures du matin un je ne sais quoi me réveille ! Mon fils est absent. Son lit est vide.

    Commence une interminable recherche dans la ville de Jumeau ! Niet ! Rien ! Nada ! Soudain au détour d’une rue je tombe sur l’artiste qui était sagement attablé dans un bar !

    Ma réaction fut démesurée et je le regrette aujourd’hui !

    Pourquoi ai-je donc eu si peur ? Je ne sais !

    Peut-être même que je souhaitais que mon Compagnon de voyage me tienne au courant de son inoffensive escapade ?

    Peut-être qu’en fin de périple (on rentrait de Hawaii la belle) mon compagnon sentant la fin de la cavalcade voulait se payer un simple petit saut d’aventures à deux heures du matin ?

    Peut-être, tout simplement, qu’il a eu une insomnie et qu’il en a profité pour aller déambuler en ville ?

    Ah ces pères-voyageurs si attachés à leurs compagnons de route !

    @suivre

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    (6) Papa POURQUOI n'es-tu pas milliardaire ?